Plaisir de lecture : 15/20
j’ai aimé :
- Le personnage principal
- le voyage à New York dans lequel on voit l’évolution de la ville

Tous les fleuves vont à la mer de Belva PLAIN
Traduit par Eleonore Francart
Parution le 18/08/2022aux Editions L’archipel
792 pages
Présentation de l’éditeur : Arrachée à sa Pologne natale, Anna a seize ans lorsqu’elle débarque à New-York. Comme tant d’autres immigrants, cette orpheline est venue chercher fortune dans cet eldorado que représente l’Amérique en ce début du XXe siècle.
Femme de tête animée par une volonté farouche, elle est résolue à tout faire pour dépasser sa condition, et enfin réaliser ses rêves.
Mais l’ambition masque souvent bien des drames : déchirée entre sa passion secrète pour Paul Werner, le fils de ses premiers patrons, et sa fidélité à son mari, le bon joseph Friedman, Anna va devoir affronter de douloureuses épreuves avant de découvrir le chemin de sa propre vérité, le sens de son destin…
Mon avis :
Je pensais démarrer un livre dans lequel j’allais suivre l’arrivée d’Anna à New York au début du XXème siècle et ses aventures mais ce livre offre une dimension bien plus ample.
Orpheline à 16 ans, Anna laisse ses frères en Europe pour s’installer à New York. Elle est domestique dans une maison où elle tombe amoureuse de Paul, le fils de la famille. Mais bien sûr le mariage n’est pas à envisager. C’est aux côtés de Joseph qu’on l’a suit et traverse les décennies, les malheurs et l’évolution du monde.
De la découverte de l’apogée New York au crash de Wall Street puis la seconde guerre mondiale, l’Histoire vient affecter la vie d’Anna.
700 pages au côté d’une héroïne tourmentée par un lourd secret, une histoire de famille avec rebondissements.
Si j’ai trouvé quelques petites longueurs vers la fin, le tout se lit très bien. Les pages défilent assez facilement au sein de cette famille.

